Christian Nyby
Film
John Carpenter
John W. Campbell
Matthijs van Heijningen Jr
Nouvelle
Peter Watts
Vidéo
The Thing : 3 films, 2 nouvelles et la pétoche
Alors que je commençais à me perdre au-delà du gouffre de Peter Watts, je m'aperçois que la première nouvelle Les choses fait référence au film de John Carpenter, The thing. La préface nous indiquant qu'il valait mieux revoir le film pour apprécier toute la subtilité du texte, me voilà à refermer le recueil pour me mettre un film. Las, en faisant quelques recherches, la chose n'est pas si simple.
The thing de Carpenter est tiré d'une nouvelle de John W. Campbell, qui a déjà été adapté en film en 1951. Et pour finir, un préquel en 2011 a été fait du film de Carpenter.
Résultat des courses, au lieu de lire du Watts, je me retrouve à regarder trois films et à lire du Campbell. Depuis, je me méfie de tout le monde et j'ai peur de mon ombre. Merci Le Bélial.
C'est parti pour un tour d'horizon de la Chose par ordre chronologique.
The thing de Carpenter est tiré d'une nouvelle de John W. Campbell, qui a déjà été adapté en film en 1951. Et pour finir, un préquel en 2011 a été fait du film de Carpenter.
Résultat des courses, au lieu de lire du Watts, je me retrouve à regarder trois films et à lire du Campbell. Depuis, je me méfie de tout le monde et j'ai peur de mon ombre. Merci Le Bélial.
C'est parti pour un tour d'horizon de la Chose par ordre chronologique.
La Bête d'un autre monde, John W. Campbell
dans le recueil Le ciel est mort, Robert Laffont, 1992
Donc voilà la nouvelle originale dont est tiré le reste.
Paru initialement en 1938 dans la revue Astounding Science-Fiction que John W. Campbell dirigera pendant une trentaine d'année, délaissant alors sa carrière d'écrivain pour lancer celles d'Asimov, Heilein, van Vogt et bien d'autres.
Dans une station de recherche scientifique en Antartique, les scientifiques découvrent un OVNI, pris dans les glaces depuis des millions d'années. Las, en voulant le délivrer de sa gangue de glace à l'aide d'explosifs thermiques, le vaisseau inconnu explose. Connerie n.1 ! Mais à quelque mètres de là, ils font la trouvaille d'un être étrange. Ils le ramènent dans un bloc de glace à la station. Connerie n.2.
Et ce qui devait arriver arriva, la bestiole s'échappe et elle n'est pas contente. En plus, elle se révèle métamorphe et télépathe. S'ensuivra un huit clos oppressant pour savoir si la découverte, la recherche scientifique prime sur le principe de précaution : en effet, ne risque pas de libérer des virus mortels pour l'homme ? Et ce qui tient en haleine est de savoir qui est contaminé ? Une étude de moeurs doublé d'une interrogation sur les découvertes scientifiques. Question action, on est un peu léger, seul un scientifique veut tuer tout le monde pour ne pas propager la Bête.
Dans l'ensemble, une bonne découverte, mais surtout pour jouer au jeu des différences. Quelques incohérences, une Bête parfois pas très fute-fute, restant en ligne de mire sagement pendant que la défense organise sa ligne de défense.
Une fin assez étrange comme une ode à l'énergie atomique. Mais nous sommes en 1940 aux Etats Unis.
Donc voilà la nouvelle originale dont est tiré le reste.
Paru initialement en 1938 dans la revue Astounding Science-Fiction que John W. Campbell dirigera pendant une trentaine d'année, délaissant alors sa carrière d'écrivain pour lancer celles d'Asimov, Heilein, van Vogt et bien d'autres.
Dans une station de recherche scientifique en Antartique, les scientifiques découvrent un OVNI, pris dans les glaces depuis des millions d'années. Las, en voulant le délivrer de sa gangue de glace à l'aide d'explosifs thermiques, le vaisseau inconnu explose. Connerie n.1 ! Mais à quelque mètres de là, ils font la trouvaille d'un être étrange. Ils le ramènent dans un bloc de glace à la station. Connerie n.2.
Et ce qui devait arriver arriva, la bestiole s'échappe et elle n'est pas contente. En plus, elle se révèle métamorphe et télépathe. S'ensuivra un huit clos oppressant pour savoir si la découverte, la recherche scientifique prime sur le principe de précaution : en effet, ne risque pas de libérer des virus mortels pour l'homme ? Et ce qui tient en haleine est de savoir qui est contaminé ? Une étude de moeurs doublé d'une interrogation sur les découvertes scientifiques. Question action, on est un peu léger, seul un scientifique veut tuer tout le monde pour ne pas propager la Bête.
Dans l'ensemble, une bonne découverte, mais surtout pour jouer au jeu des différences. Quelques incohérences, une Bête parfois pas très fute-fute, restant en ligne de mire sagement pendant que la défense organise sa ligne de défense.
Une fin assez étrange comme une ode à l'énergie atomique. Mais nous sommes en 1940 aux Etats Unis.
La Chose d'un autre monde (The Thing from Another World)
Film de Christian Nyby, sorti en 1951
Film en noir et blanc
Des scientifiques découvrent un vaisseau spatial prisonnier de la banquise arctique. En tentant de l'en extraire à l'aide de bombes thermiques, ils le détruisent. Néanmoins, ils décèlent sous la glace un corps extraterrestre. Ils ramènent à leur base le spécimen, figé dans un bloc de glace. Lorsque ce dernier fond accidentellement, libérant du même coup « la chose », toute la population de la base est menacée. (Wikipedia).
Un début identique, mais on passe du pôle sud au pôle nord. Dans la base, un mélange de scientifiques, de militaires, d'hommes chargés de l'entretien de la base et une secrétaire pas farouche.
Je n'ai pas visité beaucoup de bases scientifiques, que ce soit en Arctique ou Antarctique, et après mure réflexion, aucune même. Mais l'impression est que c'est vachement cool : beaucoup d'espace, un bar, une cheminée, des fauteuils confortables, un snooker et bien d'autres agréments. Les locaux sont gigantesques. Les militaires sont à la cool, ils aiment plaisanter et draguer, notamment le capitaine et la jolie secrétaire. Les scientifiques par contre sont plus renfermés, surtout leur supérieur, le parfait scientifique hautain et imbu de sa personne. Un type pas agréable du tout, malsain en outre. Son seul but : inscrire son nom au panthéon des scientifiques, même si quelques personnes, voir l'humanité, doivent en payer de leur vie.
La chose quand à elle fait assez rire, un ersatz de Frankenstein, d'une lenteur d'esprit et de corps déconcertante. Elle n'est ni métamorphe, ni télépathe, elle a juste une force surhumaine.
Typique des films SF des années 50, un divertissement à la morale douteuse : vive les militaires, à bas les scientifiques !
La nouvelle initiale est respectée en partie, notamment dans sa trame et le questionnement éthique autour de la science.
Même pas eu peur !
Film en noir et blanc
Des scientifiques découvrent un vaisseau spatial prisonnier de la banquise arctique. En tentant de l'en extraire à l'aide de bombes thermiques, ils le détruisent. Néanmoins, ils décèlent sous la glace un corps extraterrestre. Ils ramènent à leur base le spécimen, figé dans un bloc de glace. Lorsque ce dernier fond accidentellement, libérant du même coup « la chose », toute la population de la base est menacée. (Wikipedia).
Un début identique, mais on passe du pôle sud au pôle nord. Dans la base, un mélange de scientifiques, de militaires, d'hommes chargés de l'entretien de la base et une secrétaire pas farouche.
Je n'ai pas visité beaucoup de bases scientifiques, que ce soit en Arctique ou Antarctique, et après mure réflexion, aucune même. Mais l'impression est que c'est vachement cool : beaucoup d'espace, un bar, une cheminée, des fauteuils confortables, un snooker et bien d'autres agréments. Les locaux sont gigantesques. Les militaires sont à la cool, ils aiment plaisanter et draguer, notamment le capitaine et la jolie secrétaire. Les scientifiques par contre sont plus renfermés, surtout leur supérieur, le parfait scientifique hautain et imbu de sa personne. Un type pas agréable du tout, malsain en outre. Son seul but : inscrire son nom au panthéon des scientifiques, même si quelques personnes, voir l'humanité, doivent en payer de leur vie.
La chose quand à elle fait assez rire, un ersatz de Frankenstein, d'une lenteur d'esprit et de corps déconcertante. Elle n'est ni métamorphe, ni télépathe, elle a juste une force surhumaine.
Typique des films SF des années 50, un divertissement à la morale douteuse : vive les militaires, à bas les scientifiques !
La nouvelle initiale est respectée en partie, notamment dans sa trame et le questionnement éthique autour de la science.
Même pas eu peur !
The Thing
Film de John Carpenter,sorti en 1982
On passe à la couleur et on revient au pôle sud.
Pendant l'hiver 1982 en Antarctique, un hélicoptère norvégien pourchasse un chien près d'une station de recherche américaine en Antarctique. Tandis que les Américains accourent, une grenade détruit par accident l'hélicoptère et tue le pilote. Le tireur hors de contrôle continue de tirer sur le chien et blesse un Américain. Le lieutenant Garry, commandant du poste, tire alors sur le Norvégien, qui meurt. Un pilote d'hélicoptère, R. J. MacReady et le docteur, volent jusqu'au camp norvégien pour trouver des réponses et trouvent des ruines calcinées, avec le corps d'un homme qui s'est suicidé et un gros bloc de glace avec une cavité creuse. Dehors, ils découvrent les restes brûlés d'un cadavre humanoïde à deux faces. De retour à la station, le biologiste Blair effectue une autopsie sur la créature, mais ne trouve qu'une organisation normale des organes internes. (Wikipédia).
Un début différent, ici la découverte de l'OVNI et de la Chose a déjà été faite par une équipe de scientifiques d'une autre nationalité. L'équipe américaine ne comprend rien de ce qui lui arrive. Comme dans le film de 1951, les locaux sont cools et spacieux. On ne sait pas trop qui fait quoi. Il n'y a pas l'air d'y avoir de militaires, mais qu'est ce qu'ils sont bien équipé niveau armement pour une base scientifique.
Ici le thriller prend le pas sur la thématique scientifique. Il y a bien un savant qui veut flinguer tout le monde pour sauver l'humanité, mais il préfère saccager d'abord les équipements. Alors les autres l'enferment...
Le film correspond bien à l'époque de sa réalisation, les personnages sont cools, il y a un même un black avec des patins à roulette et un autre avec un ghetto-blaster.
Bon, autant l'avouer, ça fout un peu les chocottes, surtout la Chose qui est assez répugnante. Je suis parti m'endormir avec un doudou, c'était plus rassurant. Donc si vous avez une âme sensible, mieux vaut passer votre tour.
On passe à la couleur et on revient au pôle sud.
Pendant l'hiver 1982 en Antarctique, un hélicoptère norvégien pourchasse un chien près d'une station de recherche américaine en Antarctique. Tandis que les Américains accourent, une grenade détruit par accident l'hélicoptère et tue le pilote. Le tireur hors de contrôle continue de tirer sur le chien et blesse un Américain. Le lieutenant Garry, commandant du poste, tire alors sur le Norvégien, qui meurt. Un pilote d'hélicoptère, R. J. MacReady et le docteur, volent jusqu'au camp norvégien pour trouver des réponses et trouvent des ruines calcinées, avec le corps d'un homme qui s'est suicidé et un gros bloc de glace avec une cavité creuse. Dehors, ils découvrent les restes brûlés d'un cadavre humanoïde à deux faces. De retour à la station, le biologiste Blair effectue une autopsie sur la créature, mais ne trouve qu'une organisation normale des organes internes. (Wikipédia).
Un début différent, ici la découverte de l'OVNI et de la Chose a déjà été faite par une équipe de scientifiques d'une autre nationalité. L'équipe américaine ne comprend rien de ce qui lui arrive. Comme dans le film de 1951, les locaux sont cools et spacieux. On ne sait pas trop qui fait quoi. Il n'y a pas l'air d'y avoir de militaires, mais qu'est ce qu'ils sont bien équipé niveau armement pour une base scientifique.
Ici le thriller prend le pas sur la thématique scientifique. Il y a bien un savant qui veut flinguer tout le monde pour sauver l'humanité, mais il préfère saccager d'abord les équipements. Alors les autres l'enferment...
Le film correspond bien à l'époque de sa réalisation, les personnages sont cools, il y a un même un black avec des patins à roulette et un autre avec un ghetto-blaster.
Bon, autant l'avouer, ça fout un peu les chocottes, surtout la Chose qui est assez répugnante. Je suis parti m'endormir avec un doudou, c'était plus rassurant. Donc si vous avez une âme sensible, mieux vaut passer votre tour.
The Thing
Film de Matthijs van Heijningen Jr., sorti en 2011
Ici on prend la trame de la nouvelle originale, et on découvre ainsi ce qui se passe dans la base norvégienne avant l'épisode du film de Carpenter.
Le pitch : La paléontologue Kate Lloyd part en Antarctique rejoindre une équipe de scientifiques norvégiens qui a localisé un vaisseau extraterrestre emprisonné dans la glace. Elle y découvre un organisme qui semble s'être éteint au moment du crash, de multiples années auparavant. Mais une manipulation élémentaire libère accidentellement la créature de sa prison glacée.
N'en ayant pas entendu parler à l'époque de sa sortie, j'avais un peu peur du résultat, qui m'a au final agréablement surpris. Cela s'imbrique parfaitement avec le film de Carpenter, jusqu'au final qui est le début du film de 1982 avec le chien poursuivi par un tireur pas d'élite dans un hélicoptère.
La Chose est toujours aussi répugnante, métamorphe, mais toujours pas télépathe.
Il est flippant aussi, j'ai donc pris un doudou et une tétine pour m'endormir.
Ici on prend la trame de la nouvelle originale, et on découvre ainsi ce qui se passe dans la base norvégienne avant l'épisode du film de Carpenter.
Le pitch : La paléontologue Kate Lloyd part en Antarctique rejoindre une équipe de scientifiques norvégiens qui a localisé un vaisseau extraterrestre emprisonné dans la glace. Elle y découvre un organisme qui semble s'être éteint au moment du crash, de multiples années auparavant. Mais une manipulation élémentaire libère accidentellement la créature de sa prison glacée.
N'en ayant pas entendu parler à l'époque de sa sortie, j'avais un peu peur du résultat, qui m'a au final agréablement surpris. Cela s'imbrique parfaitement avec le film de Carpenter, jusqu'au final qui est le début du film de 1982 avec le chien poursuivi par un tireur pas d'élite dans un hélicoptère.
La Chose est toujours aussi répugnante, métamorphe, mais toujours pas télépathe.
Il est flippant aussi, j'ai donc pris un doudou et une tétine pour m'endormir.
Les choses, Peter Watts
dans le recueil Au-delà du gouffre, Le bélial, 2016
Tout cela est bien joli, mais pour le moment,nous sommes en plein anthropocentrisme : la chose est méga méchante et veut décimer l'humanité.
Ici, retournement de paradigme, le narrateur est la Chose. Difficile d'en dire plus, mais c'est une réussite totale pour un final glaçant. L'humanité est vue par le prisme d'une espèce supérieure, et l'évolution n'est pas au bénéfice de l'homme. Je réitère ce qui a été dit en début de billet, la nouvelle se base sur le film de Carpenter, donc avant de la lire, pensait à mettre la galette du film dans votre lecteur dvd.
Une seule envie après lecture, remettre le film en marche pour apprécier toute la subtilité du texte de Watts.
Au final, les nouvelles et les films se répondent pour un ensemble passionnant. Les faiblesses de l'un sont compensés par les atouts de l'autre. Reste à écrire ou filmer l'oeuvre ultime en ne prenant que le meilleur. La nouvelle de Watts est celle qui se détache le plus de l'ensemble, son changement de point de vue donnant une réflexion originale.
Si vous connaissez d'autres oeuvres faisant référence à la Chose, je suis preneur.
Tout cela est bien joli, mais pour le moment,nous sommes en plein anthropocentrisme : la chose est méga méchante et veut décimer l'humanité.
Ici, retournement de paradigme, le narrateur est la Chose. Difficile d'en dire plus, mais c'est une réussite totale pour un final glaçant. L'humanité est vue par le prisme d'une espèce supérieure, et l'évolution n'est pas au bénéfice de l'homme. Je réitère ce qui a été dit en début de billet, la nouvelle se base sur le film de Carpenter, donc avant de la lire, pensait à mettre la galette du film dans votre lecteur dvd.
Une seule envie après lecture, remettre le film en marche pour apprécier toute la subtilité du texte de Watts.
Au final, les nouvelles et les films se répondent pour un ensemble passionnant. Les faiblesses de l'un sont compensés par les atouts de l'autre. Reste à écrire ou filmer l'oeuvre ultime en ne prenant que le meilleur. La nouvelle de Watts est celle qui se détache le plus de l'ensemble, son changement de point de vue donnant une réflexion originale.
Si vous connaissez d'autres oeuvres faisant référence à la Chose, je suis preneur.
La Chose n'est pas aisée.
RépondreSupprimerSUPERBE article. Je me suis régalée et je découvre qu'il y a au final plein de choses. J'avais entendu parler du film de 2011, mais ne l'ai pas vu. En revanche, après the Thing, la chose m'a foutue les chocotte et c'est avec doudou, tétine et regards sous le lit et dans les coin que je me suis couchée.
La nouvelle de Watts est savoureuse. Et c'est une excellente chose que tu l'aies aimé car je suis contente du coup!
Merci pour ce moment passionnant et toujours plein d'humour.
Merci.
RépondreSupprimerTu devrais tenter le film de 2011, mais prévois encore les doudous tétines et sabre !
Je viens de terminer le Watts, j'ai été agréablement surpris par l'éclectisme des genres, donc j'y ai par moment trouvé mon bonheur.
Excellent récap merci, on y apprend des choses.
RépondreSupprimerLe film de 51 à l'air d'être une perle, le coup du capitaine et de la secrétaire pas farouche, classique ! :D
A l'occasion, je tenterai le film de 2011 :)
Merci.
SupprimerIl faut regarder le film des années 50 aussi, il est tellement kitsch !
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerOups, erreur de manipulation, désolé
SupprimerSuper article, bravo! J'adore le film de Carpenter, il est très réussi, flippant et bien fait, avec Kurt Russel en plus ;)
SupprimerLe second de 2011, j'aime moins, on voit trop tôt La chose et ça enlève le côté surprise.
Je ne connaissais pas le livre, merci pour la découverte.
Au fait c'était quoi ton doudou? j'aimerais bien voir ça ;)
je recommence pour la peine! na!;)
SupprimerMerci.
SupprimerKurt Russel dans le premier Thing : j'en rêve encore !
Pour le second, il est moins angoissant, mais j'ai bien aimé le thriller.
Mon doudou : les digestifs !
Les tétines sont au digestif aussi? ;)
SupprimerEn sucre, cela fait un canard (Un morceau de sucre trempé dans une boisson) de cette manière.
SupprimerBonne idée de doudou ;) j'aime bien!
Supprimerles 3 sont excellents.
RépondreSupprimerChaque film est excellent dans son domaine en effet.
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