Histoire de Xavier Dollo en interview



Source : Le Télégramme

 
Quels livres faut-il avoir dans sa bibliothèque ? Vaste question, vaste débat. Pour moi, Spin suffit.
Récemment cependant, j'ai lu un livre intitulé Une histoire de la science-fiction en bande dessinée. Et là, j'ai su instantanément que c'était le second livre à avoir sur son étagère (nous en reparleront en détail bientôt). Comme je suis curieux, j'ai demandé à Xavier Dollo si je pouvais lui poser quelques questions.

Xavier Dollo est un auteur assez discret, il écrit principalement sous le nom de Thomas Geha. Un succès critique récompensé plusieurs fois par des prix. Il est aussi éditeur, sa dernière maison s'appelle Argyll (avec trois associés : Simon Pinel, Xavier Collette et Frédéric Hugot).. Et il a récemment créé un festival : L'Ouest Hurlant. Dire qu'il a l'imaginaire chevillé au corps est donc peu dire. Son Histoire de la SF ajoute une nouvelle pierre à son édifice, et quelle pierre.
Alors comment en est-il venu à faire cette BD avec l'aide de Djibril Morissette-Phan ?


 

Le chien : Comment t'est venue l'idée de Histoire de la SF ?

Xaver Dollo : Les meilleures idées sont parfois celles que l’on n’a pas. En l’occurrence, je n’ai pas eu l’idée d’écrire une histoire de la SF – sauf dans mes rêves les plus fous de lecteur admirateur de tous mes devanciers et devancières. L’idée est donc venue des Humanoïdes Associés qui voulaient lancer une collection « Histoire de... » et l’inaugurer par celle de la Science-Fiction. Pour ce faire, ils ont contacté quelques auteurs de SF, leur ont fait passer un test (pas comme dans Squid Game, je rassure) sans que cela ne débouche sur quelque chose. Puis je suis entré dans l’équation, un peu par hasard, et j’ai décroché la timbale, à ma plus grande surprise.

 

Entre l'idée et sa réalisation, combien de temps s'est-il passé ?  Quelles en sont les raisons ?

Comme je n’ai pas eu l’idée, je ne sais pas combien de temps il s’est passé entre l’élaboration du projet chez les Humanos et sa réalisation. Je sais juste que j’ai passé deux ans et demi sur le projet, alors que je bossais déjà temps complet en librairie. Ce qui signifie que je me suis très souvent levé très tôt, avant d’aller au magasin, et couché très tard, après ma journée au dit magasin. J’y ai également passé à peu près tous mes weekends, et même la matinée du jour de mon mariage et je faisais des planches. D’ailleurs cette BD a payé mon mariage, voilà.

Les raisons sont simples en soi : on a beau se croire spécialiste du genre, on se retrouve vite stoppé par des barrières dont on ne soupçonnait pas l’existence. C’est un peu comme dans un jeu vidéo où on passe son temps ouvrir des portes pour trouver des trésors cachés. Du coup, j’ai passé énormément de temps à trouver la documentation, à la lire (ma foi, c’était pas la partie la plus difficile), à la digérer, l’analyser puis la synthétiser pour en dégager des lignes directrices. Parfois, je pouvais ne retenir qu’une seule information d’un bouquin, ou d’un document, parfois je tombais sur des perles, notamment dans les archives en ligne, directement aux sources originelles. Bref, après, quand une séquence se dégageait, je la scénarisais et là encore le travail est ardu. Outre le découpage proprement dit, les dialogues, les hors textes, etc., j’illustrais abondamment mes planches d’images en tous genres pour que Djibril, le dessinateur, ait tout clefs en main. Parfois, je pouvais passer des jours à réfléchir à la façon d’aborder narrativement telle ou telle planche, ou une séquence entière, car j’avais un problème majeur : 200 pages maximum pour l’album (les petits malins se rendront compte que j’ai légèrement triché). Je crois que j’ai appris l’art de la synthèse, et l’art de trouver des angles narratifs qui me permettaient de dire suffisamment sans trop user de pages – puisque le champ d’action qui est celui de la SF était vaste. Choisir c’est exclure, et il me fallait souvent exclure, sans perdre d’information capitale. Ensuite, Bruno Lecigne, qui suivait l’ouvrage, est passé par là avec ses ciseaux et à élagué lui aussi du texte, avec justesse.

 

Djibril Morissette-Phan - Source

Est-ce toi qui a choisi le dessinateur ?

J’ai eu mon mot à dire. Quand j’ai vu le travail de Djibril, j’ai flashé directement.

 

Comment travaille-t-on à 4 mains ?

Facilement. Mes planches étaient très complètes en termes d’information. Je les scénarisais au fur et à mesure et Djibril s’y collait aussitôt. Il me posait des questions quand tel ou tel détail le chiffonnait pour son dessin. Globalement, il a passé plus de temps à attendre mes planches qu’à les dessiner. Il est hyper rapide, hyper précis, et sait adapter son dessin à tout style et toute époque évoquée dans le livre. Donc, travailler avec Djibril, c’était somme toute très facile, très calme et sans heurts, car il comprenait parfaitement ce que je voulais obtenir. Je n’ai que du bien à dire de Djibril.

 

Je trouve sincèrement que ce livre est une somme, un ouvrage de référence à venir. Je n'ose imaginer le travail de recherche, de documentation et d'entretien que cela a demandé. Tu peux nous en toucher un mot ?

J’ai un peu répondu à cette question plus haut, en fait. Donc, je te dis juste merci pour « l’ouvrage de référence ». Je n’ai jamais eu cette perspective en tête. Qu’on estime ce travail à la hauteur me comble déjà de joie.

Je reviens juste sur la partie « entretiens ». J’en ai très peu sollicité. Il m’est arrivé de demander conseil pour tel ou tel détail à des spécialistes comme Pierre-Paul Durastanti par exemple. Mais j’ai tendance, et pour tout ce que j’écris, à toujours vouloir tout trouver et tout faire par moi-même, pour apprendre un maximum de choses. J’ai l’impression, de cette façon, d’avoir une vraie continuité dans le travail, notamment dans le travail de recherche, qui me passionne. Là je viens de finaliser une longue préface (plus longue que cette interview) concernant la réédition d’oeuvres de Théo Varlet. Je me suis éclaté comme un gosse.

 


Sur l'histoire de la SF, je ne peux m'empêcher de penser à Joseph Altairac, décédé récemment et son comparse, Guy Costes. Les as-tu rencontrés pour ce travail ?

Il m’est arrivé d’échanger avec Joseph, que je connaissais très bien, pour avoir été dans la même association que lui à la fin des années 1990 et début 2000, L’Oeil du Sphinx. C’était une personne inspirante, qui m’éblouissait déjà quand je lisais ses essais, en livres, revues, fanzines… Il m’a donc nourri de bien des façons, en alimentant, comme d’autres, ma passion pour le domaine. Il attendait l’album avec impatience, avait même acheté aux enchères – cher – une repro de planche à la convention d’Orléans. Là-bas, j’étais en pleine finition de l’album, on avait échangé un peu sur quelques points. Il était, en bon érudit, toujours de bon conseil. Quant à Guy, je le connais aussi, j’admire son travail, avec Joe notamment sur RétroFictions, le plus beau travail jamais réalisé sur la SF française.

 

En dégustant cette BD, j'ai découvert plein de références inconnues de moi et rarement voir jamais cité lorsque l'on évoque l'histoire de la SF. Volonté de se différencier ?

Il faudrait me les citer, car je n’ai pas l’impression, non, d’avoir cherché la référence inconnue. J’ai toujours cherché la référence utile et pertinente dans le cadre de cette histoire.

 

Nous entendons toujours parler des pères de la science fiction, mais jamais des mères.
En une phrase, tout est dit.

La place de la femme a aussi une place particulière, rarement évoquée. A-t-il été difficile de trouver ces précurseuses, ces nombreuses femmes qui ont émaillé le parcours de la SF en étant injustement oubliées ?

Oui, la place de la femme dans la SF (mondiale) est difficile. Dissimulées à bien des égards, par des pseudonymes, des absences critiques, des publications dans des revues moins en vues, des postes moins en lumière, etc. Il est donc plus difficile de réunir de la documentation sur leur histoire dans la grande histoire du genre. Avec l’apparition d’autrices américaines comme Ursula Le Guin, Joanna Russ, Kate Wilhelm, Pamela Sargent, Marion Zimmer Bradley, Anne McCaffrey, entre autres, on sent que quelque chose s’est passé avant. Il n’est pas si aisé de l’identifier rapidement. C’est tout un processus que j’ai essayé de rendre par un arbre généalogique (trop sommaire bien sûr, mais là encore, question de place) en aiguillant sur les personnalités qui ont marqué le genre, parfois sans paraître y toucher. Je prends le cas de la SF américaine puisque l’essor moderne du genre se fait là-bas. Tu commences par identifier les personnalités cachées qui ont publié dans les pulps, comme Gertrude Barrows Bennett (Francis Stevens) ou C.L Moore (Catherine Lucille), tu continues un peu plus loin dans le temps avec, par exemple, le groupe des Futurians qui comprenait certes des hommes célèbres comme Fred Pohl, Isaac Asimov, Donald Wolheim, James Blish, Damon Knight… mais aussi des femmes, eh oui, comme Virginia Kidd ou Judith Merril. Ces deux derniers noms parlent moins aux fans de SF, c’est un fait. Pourtant, elles ont permis de tisser une toile lente et patiente qui a permis aux autrices de SF de pouvoir tout simplement exister. Virginia Kidd (nouvelliste et poétesse aussi) a créé la première agence qui gérait les droits de nombreux auteurs mais surtout des autrices écrivant de la SF, comme Ursula Le Guin, tiens donc, qu’elle plaça notamment dans Amazing Stories alors dirigé par… une femme importante, Cele Goldsmith. Et aussi Judith Merril (Frédérick Pohl fut son époux) qui outre le fait d’avoir été une excellente nouvelliste et romancière fut aussi une des éditrices les plus influentes du genre, notamment avec ses anthologies The SF annuals, puis ses Year’s Best SF, Tesseract… ; elle aida également à la création des premiers ateliers Milford avec Damon Knight et James Blish ; et fut un pont brillant quand elle partit en Angleterre et fit découvrir aux États-Unis la SF qui s’y développait, celle de la New Wave. Elle est complètement sous-estimée aujourd’hui, et c’est un tort. Ces femmes ont ouvert de nombreuses brèches dans le mur d’une SF principalement masculine. J’estime que si aujourd’hui la SF écrite par les femmes est aussi vigoureuse, c’est en grande partie le fruit du travail de cs femmes que je viens de citer. Mettre en lumière leur histoire, c’est rétablir la réalité de faits historiques réels, simplement et injustement passés dans l’ombre.

 


En te suivant sur les RS, je n'ai pu m'empêcher de remarquer le nombre de traductions de ce livre. Actuellement combien de traductions sont réalisées ? Et en attente ?

Zut. Tu m’obliges à compter. Américain. Allemand. Espagnol. Russe. Tchèque. Coréen. Chinois. Bientôt d’autres langues, si j’en crois mon éditeur. J’attends le breton, qui serait mon acmé. Intéressées, éditions Goater ? Houhou ! Jean-Marie !

 

As-tu un droit de regard sur ces traductions ?

Non, c’est l’agent des Humanos qui gère tout. Et visiblement, il gère.

 

Dans l'édition française, des chapitres sont consacrés à la SF française. J'imagine que ces pages ont été supprimées pour être remplacées par la SF du pays traduit ?

Les Américains ont fait le choix de supprimer la SF française (hormis Jules Verne) et le dernier chapitre sur le panorama de la SF mondiale. Les autres langues, à ma connaissance, ont traduit tel quel, sans coupe. Ce qui veut dire qu’un peu partout dans le monde, tout de même, la SF française a trouvé un écho non négligeable. Seuls les États-Unis (J’ai travaillé avec Mark Waid, merde quoi !) m’ont demandé de rajouter des pages, et c’était d’ailleurs plutôt bien venu, car j’en ai profité pour scénariser quelques points que je n’avais pu aborder et, en outre, écrire le début d’album comme j’avais voulu le faire avant de me résoudre à abandonner l’idée, car ça me prenait trop de place. Narrativement, l’album y gagne. L’an prochain, il y aura une réédition augmentée en France. Je suis joie. Pas les lecteurs et lectrices sans doute.

 


C'est un nouvel auteur et dessinateur qui s'y collent ?

Du coup, non, c’est une œuvre de l’esprit qui appartient aux Humanos, à moi et à Djibril. Je ne vois pas comment d’autres artistes pourraient être autorisés à trifouiller dans une œuvre qui ne leur appartient pas.

 

Peux-tu nous dire grossièrement le nombre d'exemplaires vendus en France ?

Entre 5000 et 6000. Ventes en cours, je n’ai pas les derniers chiffres donc c’est une estimation.


À l'étranger ?

Aux États-Unis, après trois mois d’exploitation, je crois que 4500 exemplaires avaient été écoulés. On m’a dit que c’était bien. Pour les autres éditions étrangères, je n’ai pas du tout d’idées. Je peux juste estimer l’Allemagne, dont le tirage était à 3000 et l’éditeur (Splitter) vient de réimprimer. En Russie (bah les Russes font rien comme les autres, hum), la publication s’est faite par un crowdfounding pour un projet plus vaste (de jeu il me semble). Jamais reçu d’exemplaire, donc je ne sais pas à quoi ça ressemble une BD en Russe. Visiblement c’est pas demain la veille que j’en aurai un ! Quant au reste, c’est en cours de parution. L’album sort fin juin en Espagne. Je n’ai pas plus d’informations.

 


Tu dois être riche désormais, veux-tu m'épouser ?

Tu peux m’épouser, mais tu risques d’être très déçu de l’état de mon compte en banque. Globalement, je rembourse encore mon à-valoir. Mais il est en bonne voie de résorption.

 

J'ai remarqué une coquille page 189, peux-tu m'envoyer en compensation un exemplaire de chaque édition étrangère actuelle et à venir ?

Impossible. Car si tu avais bien fait ton travail de Chien Critique, tu aurais trouvé bien plus qu’une seule coquille ! Donc tu ne mérites pas (encore) que je t’envoie ces éditions étrangères – que moi-même je ne possède pas. D’ailleurs, pour l’anecdote, je n’ai même plus la version française. Je les donne au gré de mes rencontres et là j’ai épuisé le stock.

 

Voilà ce qui arrive lorsque l'on engage un maquettiste ne connaissant pas l'anglais...

 

J'imagine que ce succès va donner des idées à certains. Travailles-tu sur Histoire de la Fantasy ?

Non, mais c’est peut-être un projet que développeront les Humanos. Sans moi, je suis fan de fantasy, mais je n’ai pas envie de reprendre pour trois ans, surtout avec la densité de mes activités actuelles.

 

Quelles sont pour toi les raisons de ce succès ?

Ce genre d’Histoire de la SF n’avait jamais été faite en BD. C’est un support populaire. Un secteur florissant. Avec un grand développement de ce qu’on appelle le « roman graphique ». Notre album se rapproche de cette catégorie de plus en plus lue. Personnellement, c’était mon but : rendre cette culture SF abordable, pour tout type de lecteur. Et la BD, c’est parfait pour ça. Je sais très bien que je ne pourrai jamais par ce biais avoir la densité d’un RétroFictions ou d’une Histoire de la Science-Fiction moderne (Sadoul), mais ce n’était pas le but. Ce qui ne m’a pas empêché d’être le plus complet possible.

 

Ton dernier livre hors BD date de 2019, quand pourra-t-on lire du Thomas Geha ?

Le temps passe si lentement. J’ai l’impression que Des sorciers et des hommes est sorti il y a dix ans. Peut-être mon dernier livre n’était pas celui-là. C’était peut-être mon recueil « Chuchoteurs du dragon & autres murmures » chez Elenya. Je te laisse vérifier. (note du chien : c'est exact) Quoi qu’il en soit, cette BD m’a éloigné de la fiction, j’ai écrit quelques nouvelles ici et là, mais rien de plus. J’ai des projets, mais pas de temps pour les écrire. Si, il y a bien un projet fini depuis trois ans au moins, c’est mon ouvrage Eleg.I.A, qui est une élégie de SF à paraître chez Goater, et est écrite en hexamètres et pentamètres. Le texte attend depuis qu’il est fini que l’illustratrice que je voulais sur ce projet puisse se libérer du temps. Sinon, je travaille sur un nouveau fix-up, de fantastique breton, dont les deux premiers textes sont écrits.

 

Un mot sur Argyll ? Sur l'Astrolabe ?

Dur. Et dur.
(mais passionnants projets que je vous invite à découvrir.)

 

Et voilà, c'est fini.
Un grand merci à Xavier Dollo. Je ne peux que vous conseiller d'acheter cette magnifique Histoire de la SF. On en reparle rapidement dans un prochain billet.

Le blog de Tomas Geha : https://gehathomas.wordpress.com/

Sa page Facebook : https://www.facebook.com/ThomasGeha/

Son Twitter : https://twitter.com/ThomasGeha

Le site internet de sa maison d'édition : https://argyll.fr/

Le projet Astrolabe : https://kengo.bzh/projet/3773/lastrolabe

 

Pour en savoir plus, quelques podcasts :

C'est plus que de la SF : L'Histoire de la science-fiction par Xavier Dollo

Cette bande dessinée documentaire retrace l'histoire de la science-fiction, narrée par Xavier Dollo, un spécialiste du genre (auteur et libraire) guidant le lecteur au fil des pages.
À travers un découpage chronologique en chapitres dédiés aux pères et mères fondateurs du genre, les auteurs mettent en scène la naissance des courants et thèmes incontournables (l'anticipation à la Verne, le voyage dans le temps de Wells, etc.) et les œuvres auxquelles ils ont donné naissance. Plus qu'un simple historique, cet ouvrage propose une véritable réflexion autour du genre.

 

La méthode scientifique : Histoire de la science-fiction française

Épisode 1 : Histoire de la science-fiction française, chapitre 1 : les Hypermondes

La science-fiction est un genre né au début du XXème siècle, à partir d'une poignée d'œuvres fondatrices signées notamment par Edgar Allan Poe, Arthur Conan Doyle, ou encore Kurd Lasswitz. Retour sur les débuts de la science-fiction française, en compagnie de Guy Costes et Fleur Hopkins-Loféron.

Épisode 2 : Histoire de la science-fiction française, chapitre 2 : il est venu le temps des éditeurs...

René Barjavel, auteur incontournable de la science-fiction française, la définissait en ces termes : “Ce n’est pas un "genre" littéraire... Ce sont toutes les activités de l’esprit humain en action dans des horizons sans limites". Retour sur la suite de cette histoire, de 1960 à 1980. Avec Philippe Curval, Simon Bréan, Jérôme Vincent

Épisode 3 : Le futur commence aujourd’hui

Retour sur la suite de cette histoire, de 1980 à aujourd’hui. Avec Mireille Rivalland, Serge Lehman, Xavier Dollo.

 

Les réponses au teasing sur les RS

Jeudi : 

Clin d'oeil à son roman A comme Alone, hommage à L'autoroute sauvage de Gilles Thomas, qui n'est autre qu'une femme, Julia Verlanger


Vendredi

Les traductions de Histoire de la SF


Samedi

Rapport aux deux romans Le Sabre de sang


Dimanche

Argyll est une région de l'Ecosse


8 commentaires:

  1. Mon fils est fan. Il le suit depuis les romans jeunesse .cette BD est excellente et semble être promise à un bel avenir international. On s’en réjouit pour les auteurs.
    Merci pour cette interview .

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    1. Le succès est mérité, l'auteur a du talent (mais pas encore assez reconnu sur ces textes)

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  2. Trugarez evit pennad-kaoz ! (mes excuses à la Bretagne)
    Ouaf ouaf ouaf ! (pas mes excuses aux canidés, je suis assez confiant sur la justesse de mon ouaf-ouaf)

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  3. C'était super intéressant ! Merci.

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  4. "Pour moi, Spin suffit." --> Je te reconnais bien là. 😊
    Entretien très intéressant, comme d'habitude. Merci. Le mec me tue tellement il abat de boulot. 😄

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    1. Le bouquin est une somme, mais Xavier n'a pas dû en faire beaucoup de somme

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