Ayerdhal et Jean-Claude Dunyach, Mnémos, 2014 (1ère parution 1999), 452 p., 25€ papier (ou 9€ en 3 epubs chez Amazon)
Les auteurs ont dû se mettre à deux pour écrire ce roman. Et moi pov' lecteur, j'étais bien seul pour en lire la totalité.
Présentation de l'éditeur :
Les AnimauxVilles, gigantesque cités biologiques
et conscientes, capables de défier les lois de l’Espace-Temps, ont
permis à l’humanité de coloniser l’espace. Mais celle-ci s’est divisée
en quatre rameaux, les Mécanistes, les Connectés, les Organiques etles
Originels. Entre ces factions que trop de choses séparent, la guerre
menace d’éclater.
Face à ce danger,
un AnimalVille tente de tracer une autre voie. Les rameaux sont invités à
assister ensemble à un spectacle unique : la mort par supernova d’une
étoile binaire. Leurs représentants seront-ils à la hauteur de cet
événement cosmique ? Et quelles seront les conséquences de ces
retrouvailles ?
Mon ressenti :
Futur
très éloigné, l'humanité a essaimé un peu partout dans l'univers, grâce
à la découverte d'une race alien étrange : les AnimauxVilles. Des êtres
gigantesques entre le vaisseau, la ville dotés d'une conscience,
d'une intelligence et de la parole. Avec eux la technologie a pu se
développer et générer des dissensions entre les humains. Voilà donc l'humanité divisée en branches,
parties chacune de leur côté. Mais l'apparition d'une double supernova
risque de changer la donne.
Voici le résumé de 250 pages !
Un livre ardue, les tenants, l'histoire n'étant donné que peu à peu. On est un peu perdu devant cette foisonnante imagination, des humanités très différentes de ce que l'on connait. Jamais lu un truc d'aussi original, profondément autre.
Mais originalité ne rime pas toujours avec plaisir de lecture. Chaque branche de l'humanité nous est longuement présenté avant d'attaquer le coeur du sujet, à la moitié du roman. On passe de l'ethnographie à la hard SF, de la technique à la relation mère fille, du pouvoir à l'anarchie .
L'impression de lire un fix up, peut être le syndrome de l'écriture à quatre mains. Parfois l'histoire nous prend avec elle, d'autrefois non. Trop long à se mettre en place, trop ardu, j'ai souvent posé ce roman pour lire autre chose de plus captivant.
Arrivé à la moitié, j'avais déjà oublié les histoires des uns et des autres, les pages se font de plus en plus lourdes à tourner. Et la décision d'arrêter la torture se fait.
Le seul truc que je sais : pas pour moi.
Un livre ardue, les tenants, l'histoire n'étant donné que peu à peu. On est un peu perdu devant cette foisonnante imagination, des humanités très différentes de ce que l'on connait. Jamais lu un truc d'aussi original, profondément autre.
Mais originalité ne rime pas toujours avec plaisir de lecture. Chaque branche de l'humanité nous est longuement présenté avant d'attaquer le coeur du sujet, à la moitié du roman. On passe de l'ethnographie à la hard SF, de la technique à la relation mère fille, du pouvoir à l'anarchie .
L'impression de lire un fix up, peut être le syndrome de l'écriture à quatre mains. Parfois l'histoire nous prend avec elle, d'autrefois non. Trop long à se mettre en place, trop ardu, j'ai souvent posé ce roman pour lire autre chose de plus captivant.
Arrivé à la moitié, j'avais déjà oublié les histoires des uns et des autres, les pages se font de plus en plus lourdes à tourner. Et la décision d'arrêter la torture se fait.
Le seul truc que je sais : pas pour moi.
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