Présences d’esprits n.107 : Dossier Elisabeth Vonarburg

Présences d’esprits, hiver 2022, 54 p., 5€ papier

 

Ou comment je suis devenu riche grâce à ce numéro.


Présentation de l'éditeur :


Sylvie Gagnère et Magali Couzigou ont décidé de nous parler d’une écrivaine qu’elles adorent : Elisabeth Vonarburg. Autrice reconnue de l’Imaginaire, féministe engagée, éducatrice d’auteurices. Pour parfaire ce dossier, Elisabeth Vonarburg nous a fait le plaisir de nous accorder une nouvelle à l’univers futuriste étonnant : Les Invisibles. Et comme Sylvie Gagnère et Magali Couzigou sont des perfectionnistes, elles n’ont pas hésité pour la couverture de ce numéro à quérir les services de Gregory Fromenteau, illustrateur de nombreuses couvertures de romans d’Elisabeth Vonarburg. La boucle est ainsi bouclée. Dans sa rubrique « Au fil de la zapette », Marthe Machorowski continue de nous faire découvrir des séries coréennes, en axant cette fois son analyse sur les voyages temporels. Et bien sûr, vous retrouverez toutes nos rubriques habituelles sur les actualités scientifiques, littéraires, BD, cinématographiques et ludiques.

 

Mon ressenti :

Marthe, dans sa série d'articles sur le cinéma asiatique, ne m'a toujours pas donné envie d'en apprendre plus : Trop d'amour tue l'amour.

Place au dossier Elisabeth Vonarburg qui s'ouvre sur une nouvelle Les invisibles, parue initialement dans la revue Solaris. L'histoire croisée d'individus vivant sous un dôme et dont les fils de l'histoire vont s'entrecroiser. Mais qui écrit les histoires ? Je suis passé complément à côté de ce texte. J'avais déjà tenté un roman de l'autrice sans accrocher, que j'avais abandonné en cours de lecture. Je n'ai rien à reprocher à son style ni au récit, mais je n'arrive pas à pénétrer son univers.

Comme dans le numéro précédent, la revue a décidé d'adopter un point de vue différent pour aborder son Elisabeth : en lieu et place du traditionnel sa vie son oeuvre, ils ont demandé à ses proches, amis autrices, éditeur et j'en passe de nous donner leur vison. Jusqu'à la couverture faite par celui qui a illustré de nombreux de ses livres, Gregory Fromenteau. Un multifocus pour une carrière multitâche. Nous avons même le droit à une interview de ses chats et un focus sur les biscuits qu'elle confectionne.
Un traitement original, incomplet certes, mais attachant et personnifié.

Comme d'habitude, on trouve les autres rubriques, les brèves scientifiques d'une autrice qui va bientôt sortir son troisième roman, et les critiques livresques BD et jeux. Rien qui ne me tente, mais j'ai pu y voir un avis sur Replis d'Emmanuel Quentin. Pourquoi je vous en parle ? Car je lui ai envoyé une photo de la critique et une chose en amenant une autre, nous avons fait un pacte de sang numérique : il m'envoie chacune de ses futures publications gratuitement. En contrepartie ? Je lui ai envoyé la photo je vous ai dit ! Mais étant grand prince, je lui ai envoyé ce numéro qu'il a dû déjà dévorer quand vous lirez ces lignes. Voici donc ma méthode pour devenir riche, riche des écrits d'Emmanuel Quentin 

6 commentaires:

  1. Je ne pensais pas lire le début d'une romance, entre toi et Emmanuel Quentin, en lisant ta chronique. Pour quelqu'un qui n'aime pas les histoires d'amour... =P
    "Nous avons même le droit à une interview de ses chats" : 😲🤔

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  2. "une interview de ses chats" --> Je salue la personne qui a eu l'excellente idée de leur donner la parole, eux qui sont les mieux placés pour parler de leur humaine. Et je salue l'autrice, qui a visiblement le bon goût d'avoir plusieurs chats. Je vais peut-être sortir Chroniques du pays des mères de ma PAL plus tôt que prévu. 😼

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    1. Voilà une bonne nouvelle.
      Et oui, l'idée des chats est excellente

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    2. Entre-temps, j'ai vu que Chronique du pays des mères fait plus de 550 pages et rentre donc dans le challenge du Pavé de l'été de Brize. Joie, bonheur. Je vais m'inscrire et le lire. 💖 Double bonheur.

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