Alien, la xénographie

 

Nicolas Martin, Simon Riaux, Zariel, Editions ActuSF, 2022, 472 p.,32€

 
Ellen Ripley est morte, plus personne désormais pour combattre le plus terrifiant des xénomorphes.
Personne ?
Nicolas Martin, Simon Riaux et Zariel prennent la relève.
Alien, la xénographie, l'"éjac' faciale" du siècle !!!

Pitch de l'éditeur :

Créature mythique du cinéma, le xénomorphe préféré des amoureux et amoureuses de science-fiction ne cesse de revenir sur nos écrans. Dirigé par Nicolas Martin et Simon Riaux, cette Xénographie se propose d’explorer toutes ses facettes, de ses débuts à ses dernières incarnations. Composé de
spécialistes, le sommaire vous emmènera à la rencontre du monstre le plus cauchemardesque de l’espace...

Test de Rorschach
Que vois je ?
La Peur, la Mort, la Souffrance...

 


Mon ressenti :

Lorsque je regardai la première fois la saga alien dans ma jeunesse, je n'ai vu qu'un film d'horreur, flippant au possible, malaisant. Une frousse immense, je m'attendais chaque seconde que l'alien entre dans l'arène pour me faire sursauter, flipper, me mettre en position latérale de sécurité. Un autre film m'avait hanté dans un autre style : Freddy les griffes de la nuit.
Le premier alien fut (est) le summum de ma terreur, les trois suivants furent de bons films, sans l'effet de surprise. Les deux prequels ont préféré le registre de la comédie...

Lorsque Nicolas Martin m'a proposé de participer à l'aventure, au fond de moi, je savais que j'allais devoir affronter le plus méchant, le plus belliqueux de l'altérité. Mais étant adulte, pas le choix, il faut affronter ses peurs. J'ai regardé, et re-regarder et re-re-regarder. Par contre je suis quelqu'un de primaire : Alien reste pour moi la peur cosmique, pas moyen d'y voir autre chose. Alors ce livre tombe à pic pour me montrer les multiples lectures que l'on peut en faire. L'occasion d'appréhender cette saga a l'essence insaisissable, l'alien n'est pas gluant, visqueux pour rien...
Tous les différents points de vue illustres magnifiquement le propos : Alien n'est pas qu'un film, mais une référence. On y voit ce que l'on veut, il forme un tout, monstrueux, comme cette xénographie.

Je n'ai pas compté tous les auteurices, il y en a beaucoup plus que les doigts de me deux mains, mais c'est une somme. C'était aussi une de mes craintes : devant le nombre hallucinant de collaborateurices, il y allait forcément avoir des redites que je craignais nombreuses. Ce ne fut pas le cas, il y en a bien entendu un peu sur quelques paragraphes, mais rien qui m'a fait reposer le livre en pestant. Une autre critique serait les coquilles qui parsèment parfois le texte. Mais au vu du nombre de signes, cela reste raisonnable on dira.

Avant de décortiquer cette xénographie, un mot tout de même sur l'objet. Première chose, il ne contient pas d'oeufs, ni de spores, vous pouvez l'acheter sans crainte. Le livre est beau, couverture cartonnée et brillante, un signet en tissu pour marquer ta lecture. A sa réception, un peu déçu lors du feuilletage : pas beaucoup d'images et d'illustrations. Cependant, lorsque j'ai plongé dedans, cela m'a paru injuste. Les illustrations de Zariel sont magnifiques et complètent parfaitement le propos. Ni trop peu, ni pas assez, le parfait dosage. La mise en page est magnifique, soulignant et faisant référence à la saga sans pour autant l'emporter sur le texte.




Introduction : « Alien » : du « sense of wonder » au « sense of horror », Nicolas Martin, Simon Riaux
Les deux soutiers, les deux créateurs de ce monstrueux livre sonnent le LA, celle de l'horreur de l'espace. Ils reviennent vers quelques films jalons de la SF, hérédité lointaine d'Alien et précurseurs d'un renouveau eux aussi. Et ils nous allèchent avec ce qu'alien a fait au monde. Une mise en bave truculente, plus le choix, trop tard pour fermer le livre et sauver son âme, va falloir boire le calice jusqu'à la lie.


La beauté mort-vivante, Serge Lehman
Serge Lehman nous définit quelques termes s'appliquant à Alien : le sublime et le grotesque en s'adossant aux écrits de Edmund Burke et Pierre Jourde. Quel rapport ? Et bien lis ses quelques mots et tu comprendras.


Quiz : Connaissez-vous Alien ?, de moi-même
Je ne vais pas tomber dans l'égocentrisme, ce quiz étant de mon fait. Une critique tout de même : c'est trop dur, je n'ai pas réussi à avoir tout bon... Mais ma maman est contente ! 


Alien, le neuvième passager, Laurent Aknin
Quel neuvième passager ? Déjà une coquille alors que l'on attaque seulement les premières pages ? À moins que ...
Quoi de mieux que de commencer par le début avec une critique de ce premier film. L'auteur décortique la mise en scène pour nous montrer sa nouveauté et les emprunts d'Alien. J'ai bien aimé cet article n'étant pas un cinématographe, j'ai pu appendre plein de trucs, voir qu'il n'y a pas de hasard dans le film et que tout participe, comme le scénario, à nous foutre les jetons. Et on comprend pourquoi ce titre a la toute fin... 

Des clowns, des monstres, des rencontres nocturnes, la fantaisie qui séduit les enfants et la peur qui les fascine. Nous avons besoin de cela, de la noirceur et de la crasse...
Pierre Jourde

Walter Hill : « Une bonne histoire s'achève dans les larmes. », Simon Riaux
Co-scénariste des trois premiers Alien, l'interview est donc attendu. Qu'à t'il voulu dire à l'époque ? comment travaille t'il ?... On s'installe confortablement dans son canapé, et on déguste cet entretien. Et une fois tombé sous le charme, c'est fini, 5 questions et puis s'en va. Mais pourquoi c'est si court ?!

Je m'intéresse d'abord à ces personnages. Ce sont eux que je creuse, et je ne sais pas comment raconter une histoire si elle n'est pas en premier lieu l'histoire de gens qui ont initialement des motivations très simples, transparentes, qui les poussent à agir.


Le Xénomorphe, un monstre de papier ! Aux origines littéraires d'« Alien », Renaud Guillemin/L’épaule d’Orion
Le blog de L’épaule d’orion, c’est de la merde, mais que vaut son taulier en tant qu’auteur ? Il nous emmène à la chasse aux inspirations littéraires d’Alien. Bien entendu il nous parle de Dune (il est où mon Robert ?) ! C’est typiquement le genre d’article que je déteste au plus haut point, car me donnant l’envie de découvrir d’autres textes. Ici, j’ai envie de lire trois textes. Un conseil donc, sautez cet article qui ne fera qu’enrichir les multinationales de l’édition.
Et puis, en intitulant son article ainsi, c’est facile de le dire devant son ordinateur à des milliers de parsec d’un alien, mais oserait-il lui dire en face ?



La Musique qui réveille les monstres, Benoît Basirico
Pas de film sans musique. Alien serait-il devenu ce film mythique sans sa bande originale ? L’auteur revient sur sa conception, difficile dialogue entre Scott et Goldsmith, et nous décortique la partition. Un article un peu plus difficile pour moi, ayant en tête les images, les bruitages, mais beaucoup moins la musique. A mon prochain visionnage, je resterai avec les oreilles aux aguets.

Le Paradis perdu de Milton - Back to the future, Christian Lehman
Back to the future. Nous sommes en 1979, le 12 septembre exactement (comment peut on se souvenir aussi précisément de la date ?!), Christian Lehman pénètre dans une salle de cinéma pour regarder Alien. Question immédiate : mais qu'est ce que l'on s'en fout ? Mais 1979 est une date à part, un monde bien différent de celui de nos jours où l'on connait tout du film bien avant d'aller le voir. Une toute autre expérience. Et c'est ce qui fait l'originalité de cet article nous replaçant dans le contexte de l'époque.

Ash ne sourit pas, Ash ne jouit pas, Ash fait son travail

Ce qu'« Alien » a changé à ma vie, Ava Cahen
Regarde t'on Alien différemment selon que l'on est une femme ou un homme ? Oui nous répondra Ava Cahen. C'est toujours difficile - impossible ? - de se mettre à la place de. Ici, cela permet de connaître le ressenti d'une femme, sa vision d'Alien. Voir que les scènes marquantes sont parfois différentes selon notre genre. Alien film, multi focal assurément.


Il faut beaucoup aimer les Aliens, Hélène Frappat
Hélène Frappant fait les liens entre films, entre horreur et science fiction .... Avec une telle profusion d'articles, il fallait bien que cela arrive : passer à côté. Trop symbolique, trop érudit, trop cinéphile, trop réflexif. Trop de trop pour le pauvre clebs que je suis.

Alien, la xénographie ou Alien, l'échographie ?

Alien, 40 ans d'effets spéciaux - Entretien avec Gilles Penso, Nicolas Martin, Simon Riaux
Second entretien et la peur est présente, tapie derrière le dernier mot de la page : est ce que cela sera aussi trop court ? Bonne nouvelle ici, l'interview est longue est a été très intéressante pour moi. On fait le tour des effets spéciaux de la saga et de ce que cela provoque dans la mise en scène. Et au final, mieux qu'un article aride sur les effets spéciaux, Gilles Penso nous donne sa vision de la place des effets spéciaux et de ce qu'ils peuvent apporter ou saborder dans un film.


Pourquoi le monde a tort de ne pas aimer « Alien, la résurrection », Geoffrey Crété
Alors déjà, petite rectification sur le titre : le monde moins Geoffrey Crété et moi, car je l'aime bien cet opus. Sous prétexte de nous parler d'alien la resurrection, l'auteur nous parle de la saga entière, des dessous comptables, créatifs et scénaristiques. Un bien bel article fouillé qui devrait amener le monde (moins deux personnes) à revoir d'un oeil nouveau cet opus.


Prometheus, Alien: Covenant - La divine trahison de Ridley Scott, Simon Riaux
Pris la main dans l'oeuf ! Simon Riaux tente de réhabiliter, l'air de rien, Prometheus et Covenant en noyant son papier (son torchon ? 🤣) au milieu de tous les articles de la xénographie. Nous ne sommes pas dupes !
Simon Riaux, seul devant l'éternel tente de réhabiliter les deux prequels qui ont tant fait hurler les fans de la saga. Avec son bâton de pèlerin, ses explications tiennent la route, me permettront de jeter un regard nouveau sur ces deux opus. Mais avant, il faudra, même après quelques années de visionnage, que mes yeux s'arrêtent de saigner et que mes zygomatiques arrêtent de se marrer... Pas gagné.



Sigourney Weaver : La belle de la bête, Guillemette Odicino
Guillemette crie son amour pour la star de cinéma. Une hagiographie de sa carrière dont j'aurai aimé un traitement plus biographique en complément.


Les Vaisseaux du 8e passager, Roland Lehoucq
Avant de parler du contenu, petit détour par le titre de l'article qui renverse le point de vue. Génial.
Quant au contenu, Roland fait son Lehoucq, c'est-à-dire pour celles et ceux qui ne le connaissent pas, qu'il décortique ici les vaisseaux de la saga au prisme de notre science actuelle, voir d'hypothèses si cela est impossible actuellement. Une leçon de science qui permet de réviser, d'apprendre pour les non scientifiques quelques notions. Et comme d'habitude, c'est brillant.


Notes éparses sur « Alien », Léonard de Vinci et l'apocalypse, François Angelier
François Angelier nous parle de Giger, de biomécanique, de contraire et d'apocalypse. Sûrement pas compris la moitié de la pensée de l'auteur, mais de ce que j'ai compris, pense avoir compris, cela permet d'avoir une autre lecture de la saga.



De grossesse aberrante en parturition mystique, les trois premiers volets à du cycle d'Alien, impulsé par la vision noire de Giger, s'avèrent sans doute moins une saga de science-fiction qu'une méditation héretique sur l'accomplissement du Salut, la naissance du Sauveur ou comment y remédier. Un exercice de « sémioclastie », de jeu de massacre théologique, un combat à mort entre signes contraires.


Alien : Le début par la fin, Victor Bonnefoy
Victor Bonnefoy, son nom ne me dit rien, mais sa biographie dit qu'il est connu comme On the panda. Et justement j'avais lu la polémique sur Twitter il y a quelques mois. Bref, cela refroidi l'envie de se jeter sur ce texte... Bonne idée cependant, le point de vue d'un enfant des années 90 découvrant Alien par Prometheus !!!

En voyant cette illustration, j'imagine le xénomorphe faire crisser ses doigts
et s'amuser de la peur des hommes.
Comme jadis Freddy Krueger le faisait contre un tableau.
J'ai PEUR.


Alan Dean Foster : "Ma représentation mentale de Ripley n'a jamais été très claire", Nicolas Martin, Simon Riaux
Autant jouer franc jeu : il y a un an, je ne savais même pas que des novélisations du film existaient.
Et leur auteur n'est autre que Alan Dean Foster qui a l'air d'être Monsieur novélisations. Interview très enrichissante pour moi, j'ai adoré les réponses de l'auteur : franches !!! Ce qui m'a surpris, c'est que l'auteur a écrit les livres d'après les scénarios sans avoir vu une seule image ou esquisses des films. Pas forcément envie de les lire, sauf Alien covenant origin, un prequel à Covenant. Bien entendu, le monde étant comme il est, c'est le seul roman non traduit... Autre roman qui aurait était intéressant de lire c'est la suite de Prometheus, qui restera malheureusement dans la tête de l'auteur...


Alien et Predator : Chassés-croisés, Alexis Roux
Plus intéressant qu'une analyse des deux films, Alexis Roux nous parle surtout des liens entre les deux sagas. Et l'envie de regarder à nouveau Predator, film que j'ai vu il y a fort longtemps.


Alien Comics - La terreur en quadrichromie, Alex Nikolavitch
Alex Nikolavitch a la lourde charge de s'occuper des adaptations comics de la saga. Et elles sont nombreuses. Moins porté sur ce média, cette recension ne m'a pas donné envie de jeter un oeil sur certaines séries. Mais un article bien complet qui devrait ravir les fans de comics.


Dans l'espace, personne ne vous entendra jeter des dés, Bertrand Bonnet
Alien ayant été dérivé sur tous supports imaginables, place au jeu de rôle, qui est arrivé très tardivement sur les tables : 2019 !!! Bertrand Bonnet nous décortique le jeu de rôleen long et en large. Un joli aperçu du contenu de la boîte qui m'aurait presque donné envie de me faire une partie de jeu de rôle.


Trahir ou périr : Le dilemme des adaptations de l'univers Alien en jeu vidéo, Guillaume Baychelier
Alien a rapidement disséminé dans les jeux vidéo, dès 1982, avec la console Atari 2600. Guillaume Baychelier analyse les différents opus qui n'ont malheureusement jamais réussi à adapter l'ambiance du film. Plus que dans la licence, c'est surtout dans d'autres titres que l'horreur s'est infusée et inspirée. À ce jour, seul Isolation a su sortir du marasme et proposer une expérience ludique fidèle.


D'« Alien » à « Alien: Isolation » - Une expérience ciselée dans la continuité des films, Jehanne Rousseau
Jehanne Rousseau nous offre une partie de jeux vidéo et décortique les arcanes de cet opus qui a tant ravi les fans. Très déçu par cet article qui donne diablement envie d'y jouer : cependant, j'ai tenté l'aventure, mais la caméra subjective me donne la gerbe. Ou serait-ce tout simplement ce que l'on appelle la PEUR ? Si tu aimes les sensations fortes, coure y jouer.


Alien : Le visqueux en nous, Géraldine Mosna-Savoye
Excellent. Même si je ne suis pas féru de philo, l'autrice a su pour moi tirer la substanfique moelle de l'alien et du pourquoi il nous fait terriblement, foncièrement peur.

Vous avez trois heures...


Alien, l'esprit féminin de la ruche, Jeanne-A Debats
Jeanne-A Debats, féminisme, militantisme et avec un titre pareil, on se doute de ce que l'on va trouver. Et bien détrompe toi, voici un article très intéressant et complet sur l'esprit de ruche avec une belle approche historique en SF. Ainsi qu'un lien avec la place de la femme dans Alien. Alien féministe ? C'est bien mal connaître Jeanne A Debats...



Les Androïdes dans « Alien », un monstre peut en cacher un autre, Natasha Vas-Deyre
Et si les androïdes étaient plus monstrueux que l'alien ? Voilà l'interrogation de Natacha Vas-Deyre qui nous permet de comprendre un des sujets explorés dans la saga. Plus difficile d'accès, les clés données permettent de voir, si il en était encore besoin après tous les précédents articles de voir la richesse de la saga.


« Alien » anatomie de l'angoisse : Une exploration psychanalytique, Anthony Huart
Psychanalyse dans le titre, voici que je commence à faire moins le fier et lève les yeux d'avance sur le sempiternel aspect sexuel d'Alien. Et là, Anthony Huard prend le contre-pied... Me voilà ferré.
Donc Anthony fout l'alien (la saga, pas la bestiole, psychanalyste, pas super héros !) sur le divan. En ressort de son analyse que le sujet est l'angoisse. Oh, pas la petite angoisse, mais l'Angoisse avec un A majuscule, l'Angoisse primordiale de l'être. Donc pas de sexe, mais on parle de mamans tout de même.





« Alien » : entre dieu et diable, Fabrice Chemla
Après le divan, place aux Écritures de la religion et de la mythologie. L'alien fait son Malin, moi moins n'étant pas très porté sur le religieux. Mais l'auteur explore de nombreuses facettes intéressantes pour ma culture personnelle.


Ne fais pas le Malin, ou j'appelle Ripley !


Étude exobiologique des xénomorphes, Li Cam
Après avoir vu ce qu'il y avait dans la tête d'un alien, voyons ce qu'il a sous sa carapace.
Difficile de savoir, l'alien étant assez réfractaire à se prêter comme cobaye scientifique. Cependant les films donnent quelques indices et parfois leur contraire. Ce tour d'horizon est plaisant à lire, mettant en parallèle avec nos espèces et les comportements sur terre.


Dans la matrice de l'aliénation, personne ne vous entendra crier, Élise Thiébaut
Elise Thiébaut est en colère. Et je la comprends, elle s'est pris une "éjac' faciale" avec Alien ! Et lorsque l'on est colère, on dit ce que l'on a sur le cœur. Je ne sais pas trop où veut bien en venir Elise, e que je sais, c'est qu'elle en a gros. Et je suis plutôt d'accord avec elle  : on en a gros !


Le Vrai monstre est la machine capitaliste, Ariel Kirou
L'ultra gauchiste Ariel Kirou nous montre l'hypercapitalisme à l'oeuvre dans Alien, mais aussi dans d'autres oeuvres littéraires ou cinématographiques. Pour un film de 1979, offrir tant de prospectives qui se révèlent juste est un peu effarant.


Place aux textes littéraires maintenant :

La Bête et la belle, Chloé Delaume
Un poème pour commencer la partie consacrée aux auteurices de l'imaginaire.
Une variation sur la belle et la bête en mode gauchiste. Même si la poésie et moi font deux, j'ai trouvé cela plutôt pas mal goupillé.


Excellent


Alien nation, Catherine Dufour

Cette nouvelle vaut l'achat du bouquin à elle seule !





Aliénation, Jean Baret






Cet auteur réussira t'il à rendre courtois le xénomorphe ?



La petite ambassadrice, Grégoire Courtois





Ceux qui restent, Nicolas Martin

Qui fait le plus peur ?
Nicolas Martin
ou le xénomorphe ?


Très satisfait de ces nouvelles qui ont l'intérêt de ne pas copier l'univers d'alien, mais de le compléter. Toutes sont différentes et apportent des points de vue différents.

Et voilà, c'est fini, la dernière page est tournée de bien belle manière. Alien, la xénographie, c'est un indispensable dans ta bibliothèque.




 


 
 
 D'autres avis : 

Le troll va de ce pas revisionner l'ensemble de la saga (sauf les deux derniers, faut pas déconner !)
 

7 commentaires:

  1. Tu as signé "Le chien auteur" ou "Le chien écrit" ?
    Je ne suis pas du tout "Alien" mais cette masse d'articles et nouvelles est impressionnante.

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    1. Tu n'aimes pas Alien !!!
      J'ai eu un manque d'inspiration, c'est juste Le chien critique. C'est seulement après que j'ai pensé à me faire un pseudo anagramme. Pour la prochaine fois, ENRIQUE LETICCHI

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  2. Je n'ai aucune passion pour Alien mais je reconnais que ce livre est impressionnant par le nombre d'entrées : que du beau monde (ou presque, si tu vois ce que je veux dire ! lol)

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  3. Tu as publié un quiz?!? Mais fé-li-ci-ta-tions!!! C'est trop génial que tu aies participé!!!
    Ton billet déborde de trucs intéressants, à l'image du bouquin.
    Lol pour le test de Rorschach!!

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