Jean-Christophe Gapdy, Rivière blanche, 2024, 292 p., 22€ papier
Joueurs de jeux vidéo, ne vous laissez pas tromper par le titre : il ne
s'agit pas d'un préquel à la saga Worms, mais du point final à la
série des Gueules des vers.
Pitch de l'éditeur :
Dès leur naissance, Mirus et les supra-gueules des vers se ruèrent à travers l’Univers pour courber l’espace et tordre le temps, dupliquant, çà et là, des mondes et systèmes qu’elles frôlaient. Lorsque, lentement, les civilisations naquirent, y compris celle des Humains, elles ignoraient tout de ces singularités, jusqu’au jour où elles commencèrent à s’éloigner de leurs planètes. C’est alors que chacune d’elles découvrit ces trous de vers effrayants et, surtout, le péril de WORM-ZERO…
Mon ressenti :
Soyons clairs, ce dernier tome est
pour moi le meilleur, et clôt merveilleusement l'ensemble. Le terme
"merveilleux" n'est pas exagéré ici, car l'auteur m'a véritablement
ébloui en réinventant les classiques de la science-fiction à sa manière.
On retrouve bien sûr des trous de ver, mais aussi des rencontres du
troisième type, des univers parallèles, du voyage spatio-temporel... Le
tout lié par une réflexion sur les androïdes, les cyborgs et
l'intelligence artificielle.
Les précédents tomes pouvaient parfois être complexes, mais ici, JC Gapdy simplifie les choses, offrant un roman plus apaisé et avec une plume plus assurée. L'intrigue tourne autour de la découverte, dans le système solaire, de gueules de ver aux propriétés étranges, jouant avec l'espace et le temps, et créant des univers parallèles qui s'entremêlent.
Ce que j'ai le plus apprécié, c'est la rencontre avec une espèce alien qui conserve son étrangeté : il est impossible de comprendre pleinement cette altérité. J'aurais aimé en savoir plus, mais j'adore que l'auteur ait choisi de laisser libre cours à mon imagination.
Cerise sur le gâteau, l'auteur nous propose un petit jeu à travers les intitulés des parties, avec des allusions à d'autres romans de SF à découvrir.
Worm-Zero conclut parfaitement ce cycle atypique, mais pas de larmes à verser : JC Gapdy nous promet quelques spin-offs dans les années à venir (projets entre parenthèses, l'éditeur ayant des problèmes de santé...)
Les précédents tomes pouvaient parfois être complexes, mais ici, JC Gapdy simplifie les choses, offrant un roman plus apaisé et avec une plume plus assurée. L'intrigue tourne autour de la découverte, dans le système solaire, de gueules de ver aux propriétés étranges, jouant avec l'espace et le temps, et créant des univers parallèles qui s'entremêlent.
Ce que j'ai le plus apprécié, c'est la rencontre avec une espèce alien qui conserve son étrangeté : il est impossible de comprendre pleinement cette altérité. J'aurais aimé en savoir plus, mais j'adore que l'auteur ait choisi de laisser libre cours à mon imagination.
Cerise sur le gâteau, l'auteur nous propose un petit jeu à travers les intitulés des parties, avec des allusions à d'autres romans de SF à découvrir.
Worm-Zero conclut parfaitement ce cycle atypique, mais pas de larmes à verser : JC Gapdy nous promet quelques spin-offs dans les années à venir (projets entre parenthèses, l'éditeur ayant des problèmes de santé...)
Toi aussi donne ton avis