L'adjacent

Christopher Priest, Lunes d'encre, 2015, 560 p., 25€ papier




En Anatolie, l'infirmière Melanie Tarent a été victime d'un attentat singulier : totalement annihilée, elle n'a laissé au sol, comme seul vestige de son existence, qu'un impossible cratère noir et triangulaire. De retour en République Islamique de Grande-Bretagne, son mari, le photographe free-lance Tibor Tarent, apprend qu'un attentat a eu lieu le 10 mai à Londres, qu'il a fait cent mille morts, peut-être le double. Là aussi, la vaste zone touchée était inscrite dans un triangle parfait. Alors qu'il est emmené dans une base secrète afin d'être interrogé sur ce qu'il a observé en Anatolie (globalement rien, en dehors de l'étrange point d'impact), Tibor entend parler pour la première fois du phénomène d'adjacence. Mais à bien y réfléchir, est-ce vraiment la première fois ?





Grand fan de Priest, j'ai lu beaucoup de ses livres, j'attendais avec impatience cette sortie.

Malheureusement, cette lecture ne m'a pas apporté le plaisir que je pensais y trouver.
Tous les thèmes favoris de Priest y sont : la magie, une réalité altérée, le temps.
Mais je n'ai pas réussi à accrocher. Peut être dû à un côté "Littérature Blanche", le côté science fiction n'y étant que prétexte.
Ou peut être le côté Best-of de ses thèmes qui manquent donc de profondeur, d'approfondissement.

Je pense le relire dans un an ou deux, voir si mon avis évolue avec le temps.


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